L’enquête « Ex-Com » de Datactivist, avec notamment la SEM Paris commerces et la Métropole Rouen Normandie, mesure la valeur sociale et environnementale du commerce en ville. Parce que le commerce physique reste un maillon fort du parcours client « phygital » et peut aussi simplifier et embellir le quotidien des habitants des villes. Voici quelques extraits d’exemples d’initiatives pour vous inspirer.
Cette enquête, présentée sous forme de livrable, a pour objectif de repenser la valeur du commerce en mettant en lumière 18 effets « sociaux et environnementaux » du commerce sur la ville. L’étude s’intéresse uniquement aux effets positifs du commerce.
Comme le résume Datactivist : « Les commerces ne sont pas de stricts acteurs économiques, dont la valeur sociale serait équivalente à la valeur marchande ». Car la dimension capitaliste du commerce ne valorise pas son impact social. Le projet, c’est d’aller à la source des théories d’urbanisme. Et surtout, c’est d’aller sur le terrain, au contact des commerçants, directement dans leurs boutiques. L’analyse d’entretiens avec 200 commerçants a permis de dégager 18 effets sociaux et environnementaux du commerce. Il se sont regroupés dans 6 catégories : lien social, environnement, espace public, santé et sécurité, solidarité, vie de quartier.
Graphique : la roue des 18 effets du commerce
Les commerçants interrogés ont mentionné en moyenne 4 à 5 de ces effets que leur commerce procure sur la vie du quartier.
Conclusion
Les commerces de proximité jouent un rôle essentiel dans la création de liens sociaux, la protection de l’environnement, et l’amélioration de la qualité de vie en milieu urbain. Reconnaître et valoriser ces contributions est crucial pour une approche intégrée et durable du développement urbain.
Retrouvez en pièce jointe, le rapport complet de Detactivist.