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Fédération Française de l'Equipement du Foyer Droguerie Arts de la Table et Cadeaux

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Informations utiles concernant le coronavirus (Covid-19)

Détails
Publication : 28 février 2020
Mis à jour : 18 mars 2020

Comme vous le savez, l’épidémie de Coronavirus (Covid-19), à l'origine d'infections pulmonaires détectées en Chine fin décembre 2019, progresse et fait la une de l’ensemble des médias depuis quelques semaines.

Pour être en mesure de réagir correctement, et proportionnellement face à cette épidémie, nous vous informons sur les dernières actualités et l’impact du coronavirus pour les entreprises. 

Vous trouverez ici les informations utiles communiquées par le Gouvernement concernant le coronavirus. Ce site est actualisé régulièrement.

Vous trouverez également, à toutes fins utiles, deux infographies réalisées par le ministère des Solidarités et de la Santé :

  • Celle destinée à mieux comprendre le coronavirus ;
  • Celle expliquant le dispositif de prise en charge des personnes présentant des symptômes.

 

  • Concernant l’accueil du public dans les commerces et la sécurité des salariés

À ce stade, il n’y a aucune recommandation particulière concernant l’accueil du public dans les commerces ou la protection des salariés, si ce n’est le rappel des « gestes barrières », c’est-à-dire les gestes simples pour se protéger et protéger son entourage face aux infections, à savoir :

  • Se laver les mains régulièrement
  • Tousser ou éternuer dans son coude
  • Utiliser des mouchoirs à usage unique
  • Porter un masque quand on est malade 

Le port du masque chirurgical n’est recommandé qu’aux personnes malades et à celles qui ont séjourné récemment dans une zone à risque (Chine continentale, Hong Kong, Macao, Singapour, Corée du Sud, Iran, régions de Lombardie et de Vénétie en Italie). Il est ainsi conseillé aux personnes ayant séjourné dans une zone à risque de porter un masque pendant les 14 jours suivant leur retour lorsqu’elles sont en contact d’autres personnes (voir les consignes sanitaires préconisées par le ministère de la Santé pour les personnes de retour d’une zone à risque) 

À noter que les salariés faisant l’objet d’une mesure d’isolement, d’éviction ou de maintien à domicile et qui se trouvent dans l’impossibilité de travailler peuvent bénéficier des indemnités journalières au titre de cet arrêt de travail pendant 20 jours maximum (décret n° 2020-73 du 31 janvier 2020 portant adoption de conditions adaptées pour le bénéfice des prestations en espèces pour les personnes exposées au coronavirus).

Un questions/réponses vient d’être diffusé ce jour par le ministère du Travail, pour répondre aux interrogations des entreprises et des salariés.

Ce document comporte notamment des informations sur les modalités d’organisation du travail à l’égard des salariés revenant de zones à risques ou parents d’enfants revenant de zones à risques.

  • Concernant les difficultés d’approvisionnement et les baisses d’activités liées au coronavirus 

 

Le 21 février, Bruno LE MAIRE, ministre de l’Économie et des Finances, et Agnès PANNIER-RUNACHER, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie et des Finances, ont reçu les représentants des filières économiques et industrielles pour faire un point sur les conséquences du coronavirus sur les entreprises françaises. Plusieurs mesures de soutien ont été annoncées à cette occasion, et notamment :

  • Le report d’échéances sociales et/ou fiscales (URSSAF, impôts) ;
  • Le cas échéant, un plan d’étalement de créances avec l’appui de l’État et de la Banque de France ;
  • L’obtention ou maintien un crédit bancaire via Bpifrance ;
  • Le financement des salariés par le mécanisme de chômage partiel ;
  • L’appui au traitement d’un conflit avec des clients ou fournisseurs.

Par ailleurs, les ministres ont appelé les donneurs d'ordres des différentes filières industrielles à faire preuve de solidarité en n'appliquant pas de pénalités de retard à leurs fournisseurs victime de difficultés d’approvisionnement.

Il a également été demandé, et obtenu ce jour auprès de Bruno LE MAIRE, que le coronavirus soit reconnu comme cas de force majeure.

Cela permet notamment la non-application des pénalités de retard pour tous les marchés publics de l’Etat en cas de retard de livraison.

La CPME lance en parallèle une enquête pour connaitre l'impact du virus sur votre activité et les mesures de précaution que vous auriez potentiellement mises en application dans votre entreprise.

Nous vous invitons à y répondre afin de prendre en compte les éventuels impacts sur notre secteur.

Nous restons à votre disposition pour recueillir toutes informations relatives aux difficultés rencontrées concernant l’impact du coronavirus ou répondre à vos éventuelles interrogations.

 

Communiqué de presse

Détails
Publication : 28 novembre 2019
Mis à jour : 28 novembre 2019

Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances, et les représentants des commerçants et des artisans lancent un appel en faveur des commerces de proximité à l’approche des fêtes de fin d’année

Cliquez ici pour lire le communiqué

 

Vigilance liée à la vente de précurseurs d'explosifs

Détails
Publication : 16 juillet 2019
Mis à jour : 30 juillet 2019

Au regard de l’actualité très récente sur la vente massive d’acide chlorhydrique dans certains magasins, nous en profitons pour vous rappeler la règlementation en matière de vente de précurseurs d’explosifs.

En effet, les commerçants que nous représentons sont nombreux à vendre ces produits.

Pour rappel, l’Union Européenne a adopté en 2013 un règlement UE N° 98/2013, visant, dans un but de sécurité publique, à limiter l’accès des particuliers à des produits chimiques dits « précurseurs d’explosifs » pouvant entrer dans la composition d’explosifs artisanaux, notamment utilisés lors de plusieurs attentats terroristes en Europe.

Ce règlement européen s’impose à la France comme aux autres Etats de l’Union Européenne, sous réserve de mesures d’adaptation qu’il appartient aux Etats d’arrêter. Dans ce cadre, des échanges préalables avec l’Administration ont eu lieu avec les organisations professionnelles concernées et notamment notre Fédération depuis 2014.

Les mesures adoptées par la France en application du règlement européen ont fait l’objet d’un décret du 29 Août 2017 publié au Journal Officiel du 31, qui est entré en vigueur le 1er septembre 2017.

Téléchargez ici la brochure du ministère de l’Intérieur, qui reprend la liste des produits concernés figurant au règlement UE et notamment ceux pour lesquels un enregistrement par le vendeur doit obligatoirement être réalisé.

En effet, un enregistrement doit être réalisé pour la vente de certains produits. Cet enregistrement peut être réalisé sur un registre papier côté et paraphé (voir modèle sur la brochure en pièce jointe) par le commissaire de police ou le commandant de brigade de gendarmerie compétent ou par traitement automatisé conformément au modèle et modalités fixés par le décret.

Les produits concernés par l’enregistrement sont :

  • Le peroxyde d’hydrogène,
  • Le nitrométhane,
  • L’acide nitrique.

Pour les autres substances comme l'acétone ou le nitrate de potassium, il est demandé au commerçant d'être vigilant et de signaler toutes transactions suspectes en envoyant un message d'alerte au Pixaf (plateau d'investigation sur les explosifs et les armes à feu) situé au Pôle judiciaire de la Gendarmerie nationale : 01 78 47 34 29 ou à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Pour toute question, la Fédération est à votre écoute. N'hésitez pas à nous faire remonter toute transaction qui vous paraîtrait suspecte, ou toute perte, vol ou disparition des produis concernés. 

 


Pourquoi est-il nécessaire d'encadrer la vente de ces produits ?

Les criminels fabriquent souvent eux-mêmes les explosifs qu'ils utiliseront pour commettre des attentats ou des attaques. Les notices de fabrication d'explosifs sont faciles à trouver et à comprendre, même sans connaissances préalables particulières. Les constituants d'explosifs peuvent généralement être acquis sans aucune restriction.

Or, une interdiction totale des précurseurs ne saurait garantir à 100 % que plus aucune attaque ou attentat ne soit commis au moyen d'explosifs fabriqués artisanalement. La mise en place d'une règlementation en la matière fixe toutefois une première limite.

Nous vous recommandons vivement de lire avec attention les conseils présentés dans la brochure.

 

 


Comment les quincailleries et les drogueries sont redevenues cools

Détails
Publication : 26 juin 2019
Mis à jour : 26 juin 2019

Comment les quincailleries et les drogueries sont redevenues cools Image

On s'arrache les vinaigriers, les tabliers de cuisine et les bouchons en liège dans des boutiques hyper chics

À quelques pas de la place de la République, à Paris, des trentenaires branchés, des quadra cadres sup, et des seniors distingués flânent tous ensemble au sein des 350 m² de La Trésorerie, une droguerie ouverte il y a cinq ans par un trio d'anciens professionnels de la mode et du cinéma. Toute cette population se promène au milieu de torchons, produits d'entretien, brosses à ongles et poubelles à pédales comme dans les rayons d'une librairie chic ou les allées d'un grand magasin.

Loin du bric-à-brac d'autrefois, les 2.000 types de produits référencés sont présentés selon une organisation très soignée. L'idée de Denis Geffrault et de ses deux associés était de réunir "tout ce dont on peut se servir au quotidien pour la cuisine, la table, le bain, le nettoyage, ainsi que des textiles de maison et du petit mobilier".

"Nous avons voulu construire une offre éthique et responsable, avec des produits qui ont fait leurs preuves. Notre sélection est fabriquée en Europe à 90%, dont 40% en France."

Des produits plus naturels

Le cofondateur confesse sa fascination pour les magasins généraux des années 1950. La sélection de La Trésorerie comprend d'ailleurs des gammes rétro, avec certaines limites.

"Les années 1950 et 1960 furent aussi celles de l'arrivée du plastique et des produits chimiques en masse. Au contraire, nous avons l'ambition d'accompagner nos clients dans la transition vers des produits plus naturels."

Parmi les modèles de commerces qui ont inspiré l'équipe, Denis Geffrault cite le sous-sol du BHV, la chaine de drogueries allemandes Manufactum, la boutique londonienne "Labor and Wait", et l'incontournable Maison Empereur à Marseille (la plus vieille quincaillerie de France).

Ce dernier établissement, véritable labyrinthe de 1.300m² fondé en 1827 dans le quartier de Noailles, est dirigé par Laurence Renaux. "Notre boutique existe depuis deux siècles. Elle appartient à ma famille depuis sept générations. Son emplacement n'a jamais changé. À l'origine, nous étions des artisans maîtres cloutiers. Et puis nous avons acheté une quincaillerie de quartier, et nous sommes progressivement devenus des commerçants."

L'adresse est connue partout dans le monde et on y vient autant avec une liste de courses que par simple curiosité. "À Marseille, nous sommes le troisième établissement le plus fréquenté, après Notre-Dame-de-la-Garde et le MUCEM !"

Espionnage et nouveau business 

Coutellerie, ustensiles de cuisine, quincaillerie, droguerie : au total, la maison référence plus de 50.000 produits minutieusement sélectionnés dans les catalogues de manufactures, souvent très anciennes. Forcément, le succès bicentenaire de cette institution fait envie. Et la multiplication des concept-stores qui se spécialisent dans la vente de planches à découper, tire-bouchons et autres gants pour l'entretien agace Laurence Renaux.

 

"Certains concurrents demandent même à nos fournisseurs de copier à l'identique notre référencement ! Cette situation nous a conduits à créer un département spécial pour développer une offre exclusive, qui comprend notamment des rééditions de pièces historiques."

À Paris, rue Montorgueil, la quincaillerie Dujardin est également un lieu de repérage pour les futurs entrepreneurs. Tandis que des touristes se prennent en photo dos à sa devanture old school, trois étudiants en école de commerce écrivent sur des carnets et shootent frénétiquement l'intérieur. Plus tard, à quelques mètres de là, l'un d'entre eux consent à livrer l'objet de ce manège : "Nous sommes Bordelais et la quincaillerie de notre enfance, Béjottes, sur la place des Grands Hommes, a fermé en 2012. Nous sommes convaincus qu'on pourrait relancer un business de ce genre. Notre ville a le vent en poupe, les nouveaux arrivant ont besoin de tout quand ils s'installent, et pas forcément envie d'aller dans les grandes enseignes glauques des zones industrielles."

Les professionnels de la décoration ont, eux aussi, saisi la tendance. De saison en saison, les produits de droguerie et de quincaillerie gagnent du terrain dans les boutiques de déco. La célèbre Maison Générale, à Dinard et à Saint-Malo, propose ainsi des pelles à poussière, des pinces à linge et des raclettes à bougie, à côté du mobilier de luxe et des tapis élégants.

"Parmi les produits que nous vendons le plus sur ces rayons, il y a la brosse à légumes et l'épluche légumes du chef Nicolas Vahe", précise Dominique Tosiani, le co-fondateur du magasin. "Nous référençons aussi les ustensiles de La Malle W. Trousseau, comme le presse-purée." Un best-seller !

Un casse-noix pour se consoler 

Plus surprenant encore, on trouve du liquide vaisselle à La Maison Générale. Mais pas n'importe lequel: celui mis au point par la marque Astier de Villatte, surtout connue pour ses bougies parfumées et sa vaisselle en céramique sophistiquée.

Formulation écologique, packaging sobre, parfums recherchés (poivre, sauge, cyprès, bergamote), on est loin du PAIC citron. Et le prix est fou : 18 euros les 500 mL ! Mais cela est tout de même de bien meilleur goût que les fameuse gouttes "Anti-Odeurs de merde" de la marque australienne snob AESOP avec APC (25 euros les 100 mL).

Ce mélange des genres entre aménagement, décoration, vie quotidienne et entretien de la maison est probablement le signe que le souhait absolu, pour beaucoup d'urbains aujourd'hui, est d'avoir un chez-soi confortable. Et cela n'a rien d'étonnant.

Avec près de 9% de chômage, des salaires globalement bas, et plus de 10.000 euros l'achat du mètre carré à Paris, peu de Français accèderont au logement de leurs rêves au cours de leur vie. Les mots "buanderie", "cellier", "jardin", "bureau" et "chambre d'amis" font fantasmer les citadins oppressés dans leurs petits espaces. S'offrir le meilleur des entonnoirs, des casse-noix et des décapsuleurs est peut-être un moyen de se consoler.

O Par Hélène Brunet-Rivaillon - www.o.nouvelobs.com

50 185 dirigeants ont perdu leur emploi en 2018

Détails
Publication : 16 avril 2019
Mis à jour : 16 avril 2019

CompositionGSC

Selon l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs, dont les résultats ont été dévoilés par GSC et Altares, 50 185 dirigeants auraient perdu leur emploi en 2018. Un chiffre qui « reste stable » par rapport à 2017 (+ 0,3 %), mais « à un niveau encore dramatiquement élevé pour l’économie française », estime le communiqué.

Selon les données recueillies, l’âge médian des entreprises impactées est de 46 ans, mais 35,8 % des dirigeants touchés ont plus de 50 ans. Les gérants des petites entreprises seraient plus fortement touchés, puisque « 75 % des dirigeants en situation de perte d’emploi employaient moins de trois salariés, en hausse de 1,5 % sur un an ». Enfin, les « activités en lien avec les consommateurs » sont « particulièrement exposées » : « les entrepreneurs du bâtiment (25 %) et du commerce (23 %) représentent toujours la moitié des pertes d’emploi »

Comme l’indique Anthony STREICHER, Président de la GSC, dans une Tribune, « Or, pour protéger [les entrepreneurs], il faut déjà faire de leur information une grande cause. Il y a 40 ans, les organisations qui ne se nommaient pas encore le MEDEF, la CPME et l'U2P, celles qui gèrent le système d'assurance chômage des salariés, ont fondé un système assurantiel d'intérêt général de protection non obligatoire (La GSC - garantie sociale des chefs d'entreprise). On estime à 3 millions le nombre de Travailleurs Non-Salariés en France. 25 000 d'entre eux ont choisi de prendre leurs dispositions au cas où ils se trouveraient en difficulté soit moins de 1% ! Une goutte d'eau. J'en ai assez de questionner des femmes et des hommes qui ont vu leur entreprise s'arrêter, disparaitre, et d'entendre « Je ne savais pas ! » ».

Ainsi, et pour votre propre protection sociale, nous vous invitons à vous protéger en adhérant à la GSC.

  1. Un guide du numérique et un autodiagnostic pour les commerçants
  2. Cash-back : Les règles sont fixées
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